L’union européenne a proposé 7 mesures en faveur de la pratique du vélo
1. Inclure le vélo dans les politiques de transport multimodal, en mettant l’accent sur le besoin de promouvoir des programmes d’infrastructures et de changement de comportement.
2. Rédaction d’un document stratégique sur le vélo au niveau européen. Un document qui listera notamment tous les bénéfices d’une augmentation de l’utilisation du vélo, ou encore identifiera les différents moyen de financement pour augmenter la part modale du vélo.
3. Mettre en place un centre de liaison qui servira de référence sur la question du vélo, afin de faciliter les échanges de bonnes pratiques entre les Etats membres.
4. Inviter les Etats membres à mettre en place également un centre de liaison au niveau national, en lien étroit avec le centre de liaison européen du vélo.
5. Veiller à ce que les projets d’infrastructure de transport ont pour but de renforcer les réseaux cyclables, au niveau international, national, régional ou local.
6. Inclure le vélo dans les projets urbains, locaux ou régionaux, autant comme une activité de loisirs que comme un mode de transport efficace.
7. Se servir des meilleurs pratiques cyclables, nationales ou internationales, et des opportunités de co-financement, en collaborant avec les centres de liaison vélo, nationaux et européens, et les autres partis prenants pro-vélo.
Bref, de très belles paroles, mais ce qu’il faut globalement retenir, c’est surtout, comme le rappel la déclaration en début de texte, qu’il faut tenir compte du principe de subsidiarité.
Comprendre : Les initiatives pour le vélo restent à l’échelle nationale, l’Union Européenne n’étant présente qu’en simple appui.